CemodĂšle de plan dâaffaires gratuit a Ă©tĂ© créé pour vous aider Ă dĂ©finir qui vous ĂȘtes, Ă dĂ©crire votre entreprise et Ă documenter comment celle-ci sera rentable.. Un plan dâaffaires est non seulement une Ă©tape nĂ©cessaire lorsque vous cherchez du financement pour un projet, mais aussi un outil de gestion reconnu qui trace exactement ce que votre entreprise fera et
Lâon en sait plus sur la nouvelle taxe que voudrait instituer le gouvernement camerounais dĂšs 2022 sur les transferts dâargent. De lâordre de 0,2%, cette derniĂšre concerne non seulement les services Mobile Money, mais Ă©galement toute autre opĂ©ration monĂ©taire traçable. Elle exclut cependant les virements bancaires et les transferts pour le rĂšglement des impĂŽts et autres taxes, apprend-t-on du projet de loi de finances 2022 dĂ©posĂ© ce jour sur la table des parlementaires. Sont passibles de la taxe sur les transferts dâargent Les opĂ©rations de transfert dâargent rĂ©alisĂ©s par tout moyen ou support technique laissant trace, notamment par voie Ă©lectronique, tĂ©lĂ©phonie mobile, tĂ©lĂ©graphique, ou par voie de tĂ©lex ou tĂ©lĂ©copie, Ă lâexception des virements bancaires et des transferts pour le rĂšglement des impĂŽts, droits et taxes ; Les retraits en numĂ©raire consĂ©cutifs Ă un transfert dâargent effectuĂ© auprĂšs des Ă©tablissements financiers ou des entreprises mobiles», peut-on lire dans ce document. Dans le dĂ©tail, le taux dâimposition sus-Ă©voquĂ© sera prĂ©levĂ© lors dâenvois et de retraits dâargent. Il sera ensuite reversĂ© au trĂ©sor national par les entreprises prestataires, au plus tard le 15 du mois suivant celui oĂč les opĂ©rations ont Ă©tĂ© effectuĂ©es. La taxe sur les transferts dâargent est collectĂ©e par les entreprises prestataires et est versĂ©e mensuellement au plus tard le 15 du mois qui suit celui au cours duquel les opĂ©rations ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es auprĂšs de leur centre des impĂŽts de rattachement», prĂ©cise-t-on dans cet avant-projet. Pour mĂ©moire, rappelons que lâĂtat camerounais a, par le passĂ©, manifestĂ© son insatisfaction face Ă la modicitĂ© des recettes fiscales quâil tire des transactions monĂ©taires par tĂ©lĂ©phone. Toutefois, malgrĂ© lâabsence de textes rĂ©glementaires spĂ©cifiques, les deux principaux prestataires que sont Orange et Mtn, sâacquittent dĂ©jĂ de diffĂ©rentes taxes telles que, la taxe sur la valeur ajoutĂ©e. Ils affirment Ă©galement quâils reversent Ă lâadministration, des frais liĂ©s Ă lâactivitĂ© susmentionnĂ©e, dâoĂč la hausse des coĂ»ts dâenvoi et de retrait. Nul doute que le cadre rĂ©glementaire qui sera fixĂ© aprĂšs lâadoption de la prochaine loi de finances par le parlement, entraĂźnera de nouvelles augmentations. Selon les donnĂ©es de la Banque des Etats de lâAfrique centraleBeac, 12 151 milliards de FCFA de transactions financiĂšres via mobile money ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es au Cameroun en 2020. A volume de transaction similaire en 2022, lâEtat pourrait collecter jusquâĂ 25 milliards sur le seul segment du mobile money ; ce qui demanderait un effort supplĂ©mentaire pour les usagers. Cette mesure vise Ă renforcer lâefficience et lâefficacitĂ© de notre systĂšme fiscal en termes de mobilisation des ressources, de simplicitĂ© et dâĂ©quitĂ©, dans lâoptique de soutenir la StratĂ©gie Nationale de DĂ©veloppement fixĂ©e par le Gouvernement » renseigne-t-on au ministĂšre des finances. Paul Tjeg
Pourfinancer votre projet de crĂ©ation dâentreprise, vous pouvez utiliser diffĂ©rentes sources de financement. Le financement propre correspond Ă votre apport financier personnel ainsi quâĂ celui de vos associĂ©s au capital social de lâentreprise si vous crĂ©ez une sociĂ©tĂ©. Vous pouvez Ă©galement faire appel Ă un financement externe
Le Monde Afrique LâarrivĂ©e de plusieurs start-up sur le marchĂ© du transfert dâargent va casser lâenvolĂ©e des commissions qui peuvent atteindre jusquâĂ 15 % des montants envoyĂ©s. Du goudron des capitales africaines jusquâaux ruelles des villages, ses agences jaune et noir sont incontournables. Depuis vingt ans, les 35 000 points de retrait dâargent de Western Union rĂ©partis dans une cinquantaine de pays africains ont fait du groupe le roi du transfert dâargent entre le Nord et Sud. DerriĂšre lui, MoneyGram. A eux deux, les AmĂ©ricains contrĂŽlent les deux tiers des points physiques de transfert en Afrique. Cette mainmise leur permet de pratiquer des tarifs Ă©levĂ©s qui font de plus en plus grincer des dents les Africains expatriĂ©s. Selon un rapport publiĂ© en avril 2014 par lâONG britannique Overseas Development Institute ODI, les commissions prises par Western Union seraient en moyenne de 10 % du montant envoyĂ© et de 15 % pour MoneyGram. Des taux bien au-dessus de la moyenne mondiale 7,8 % pour un envoi de 200 dollars 180 euros. Lire aussi Abdirashid Duale, le passeur dâor du Somaliland Aussi la concurrence est-elle montĂ©e au crĂ©neau pour casser les prix et se faire une place dans un marchĂ© florissant. En 2015, les transferts dâargent vers lâAfrique subsaharienne ont pesĂ© 31,4 milliards dâeuros. Une croissance de 1 % par rapport Ă 2014 et qui va sâaccĂ©lĂ©rer dans les prochaines annĂ©es 3,4 % de croissance attendue en 2016 et 3,7 % en 2017. Lire aussi Une start-up française prĂȘte Ă sĂ©curiser des milliers de transactions en Afrique Frais deux fois moins Ă©levĂ©s, services en ligne, sur mobile, envoi dâargent sous forme de biens de consommation et de services cash-to-goods ces cinq derniĂšres annĂ©es, des start-up qui rĂ©volutionnent le secteur financier sont sorties du Web avec lâambition de dĂ©trĂŽner les deux rois du transfert dâargent. Outre le fameux Dahabshiil au Somaliland, zoom sur six nouveaux services de transfert. WorldRemit, le transfert en ligne Avec 300 000 transactions par mois pour un montant mensuel moyen de 100 millions de dollars 90 millions dâeuros, WorldRemit fait partie de ces petits acteurs Ă©conomiques qui grimpent sur le continent. La majoritĂ© de nos clients vient de Western Union, car ils ont Ă©tĂ© dĂ©senchantĂ©s par les prix pratiquĂ©s, explique Catherine Wines, cofondatrice de la start-up britannique. Nos commissions se situent en moyenne entre 4 % et 5 % du montant envoyĂ©. » Si la jeune pousse, depuis sa crĂ©ation en 2010 par le Somalien Ismail Ahmed, peut proposer des prix rĂ©duits, câest grĂące Ă son modĂšle de transfert dâargent, en ligne ou sur smartphone, et donc moins cher Ă gĂ©rer. LâopportunitĂ©, aussi, dây dĂ©ployer plusieurs options de transfert afin de prendre un maximum de parts de marchĂ©. WorldRemit joue la carte multiservice dans 41 pays dâAfrique et propose le transfert dâargent par virement bancaire, retrait dâespĂšces dans des commerces partenaires, crĂ©dit sur le porte-monnaie mobile du receveur ou encore directement en minutes de tĂ©lĂ©phone. Lire aussi En Afrique, des transferts dâargent de plus en plus connectĂ©s Le 10 mai, la start-up a annoncĂ© la signature dâun partenariat avec le gĂ©ant Ă©mirati du transfert UAE Exchange. Lâobjectif augmenter encore sa couverture en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. Quant Ă UAE Exchange, il a adoptĂ© lâinterface de programmation de versement de WorldRemit et capte ainsi une innovation qui a dĂ©jĂ fait ses preuves Ă moindres frais. Un moyen de rester Ă la page pour ne pas se laisser dĂ©passer par les nouveaux arrivants. PayTop, la carte multidevise Pour se passer de lâĂ©tape parfois fastidieuse du retrait dâargent liquide en agence, PayTop a créé une carte multidevise. Il sâagit dâune Mastercard rechargeable en livres, en dollars et en euros directement sur notre site, explique David Boucher, prĂ©sident de la start-up française créée en 2012. Un migrant en France peut par exemple acheter cette carte et la remettre Ă un parent rĂ©sidant Ă lâĂ©tranger afin quâil puisse payer directement chez un commerçant ou retirer dans nâimporte quel distributeur sans frais, tout en contrĂŽlant ses dĂ©penses. » La carte vise en prioritĂ© le voyageur ayant frĂ©quemment besoin de jongler avec les devises. Mais, pour lâAfrique subsaharienne, oĂč seulement 24 % de la population a accĂšs Ă une banque, une telle carte, gĂ©rĂ©e et rechargĂ©e Ă distance, offre une solution clĂ© en main pour dĂ©penser lâargent transfĂ©rĂ© facilement et sans compte bancaire. Nous sommes en train dâĂ©tudier la possibilitĂ© dâintĂ©grer le franc CFA Ă notre carte, explique David Boucher. LâAfrique est notre premier marchĂ©. » A lâimage de WorldRemit, PayTop, qui revendique 93 000 clients depuis sa crĂ©ation et un flux de 15 millions dâeuros en 2015, propose Ă©galement dâautres options de transfert dâargent disponibles dans 34 pays dâAfrique tels que le retrait en agence, vers un compte bancaire ou crĂ©ditĂ© en minutes de tĂ©lĂ©phone. Prochaines Ă©tapes ajouter un service de porte-monnaie Ă©lectronique sur mobile et faire en sorte que PayTop soit accessible depuis lâensemble des pays europĂ©ens francophones dâici la fin de lâannĂ©e. Mergims, lâargent transformĂ© en biens de consommation 90 % des fonds que les migrants envoient en Afrique sont consommĂ©s immĂ©diatement. Leur problĂšme majeur est quâils sont parfois mal utilisĂ©s par le receveur », analyse Louis-Antoine Muhire, un Rwandais qui, en fĂ©vrier 2015, a trouvĂ© la solution Ă un problĂšme quâil connaĂźt bien en crĂ©ant Mergims. Une application, pour lâinstant uniquement sur AndroĂŻd, grĂące Ă laquelle une personne installĂ©e Ă lâĂ©tranger peut payer pour un parent un service directement auprĂšs dâune administration rwandaise. La start-up revendique actuellement 2 550 clients et fonctionne uniquement au Rwanda pour le paiement des factures dâĂ©lectricitĂ© et des frais de scolaritĂ© dans cinq des quinze universitĂ©s du pays. Dâici Ă la fin de lâannĂ©e, nous aurons des accords avec toutes », assure Louis-Antoine Muhire. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă nos abonnĂ©s Le Rwanda, fleuron africain de lâinnovation En juin, Mergims ouvrira son service aux pharmacies rwandaises, puis aux banques. Nous offrirons les services de banques locales sur notre plateforme. Cela nous permettra de faire du paiement de crĂ©dit Ă distance pour un proche restĂ© au Rwanda, par exemple. » Un modĂšle dâenvoi dâargent rĂ©cupĂ©rĂ© sous forme de biens de consommation et de services cash-to-goods, que Louis-Antoine Muhire compte Ă©tendre Ă dâautres pays dâAfrique tels que le Cameroun, le Ghana, le Kenya et lâOuganda. La technologie est prĂȘte et notre modĂšle a besoin de seulement trois personnes par pays pour ĂȘtre dĂ©veloppĂ©. » Pour concrĂ©tiser sa conquĂȘte, Mergims a entamĂ© une campagne de levĂ©e de fonds de 300 000 dollars. Lâambition de la start-up a tapĂ© dans lâĆil de MoneyGram. Nous proposerons sĂ»rement leurs services sur notre application », explique le directeur. Parfois, la concurrence a du bon pour les gros poissons. Afrimarket, transfert et e-commerce Câest le gĂ©ant du cash-to-goods. FondĂ©e en 2013 par trois entrepreneurs français, lâentreprise offre ses services Ă prĂšs de 50 000 clients en CĂŽte dâIvoire, au BĂ©nin, au Togo, au SĂ©nĂ©gal et au Cameroun. En 2015, quelques millions » ont transitĂ© via son application et son site de transfert. Mais le tableau de chasse est loin dâĂȘtre rempli. Afrimarket est en phase de levĂ©e de fonds pour plusieurs millions dâeuros afin de se dĂ©ployer au Mali et au Burkina Faso. Son modĂšle de transfert repose sur lâe-commerce. PlutĂŽt que dâenvoyer de lâargent qui sera rĂ©cupĂ©rĂ© en liquide par le destinataire, celui-ci choisit des biens directement sur le catalogue en ligne dâAfrimarket. Le destinataire retire ensuite la commande ou se la fait livrer chez lui en moins de cinq jours. Nous sommes une plate-forme dâe-commerce dĂ©diĂ©e Ă lâAfrique », prĂ©cise Rania Belkahia, directrice dâAfrimarket. Pour la diaspora, nous sommes un substitut aux opĂ©rateurs classiques de transfert dâargent et, pour la clientĂšle locale, on remplace un Amazon africain. » Depuis septembre 2015, Afrimarket a lancĂ© en CĂŽte dâIvoire son service dâe-commerce Ă destination des consommateurs locaux avec un moyen de paiement unique que les Ivoiriens connaissent bien Orange Money. Lire aussi Dâici Ă 2030, les frais sur les transferts dâargent ne dĂ©passeront plus les 3 % » En 2015, Orange a investi un million dâeuros dans la start-up et les projets ne manquent pas. Orange va distribuer notre solution Afrimarket sur une application mobile tĂ©lĂ©chargeable par ses clients en France », annonce Rania Belkahia. RĂ©cemment, le gĂ©ant des tĂ©lĂ©coms a ouvert sa premiĂšre boutique Orange Money Ă Paris. A partir du mois de juin, les expatriĂ©s devraient ainsi pouvoir transfĂ©rer de lâargent dans quatorze pays dâAfrique. Un concurrent de plus, et de taille, pour Western Union et MoneyGram. Lemon Way, le transfert comme les grands En moins de deux ans, la start-up française créée en 2007 a rĂ©ussi Ă concurrencer Orange Money au Mali grĂące Ă son partenaire Lemon Way Mali. Depuis, 900 000 comptes utilisateurs y ont Ă©tĂ© ouverts. Mais le service financier sur mobile ne permet pas encore Ă lâargent de traverser les frontiĂšres. A lâinstar dâOrange Money, ça sera chose faite dâici Ă la fin de lâannĂ©e. DĂ©but 2016, la start-up a créé une nouvelle filiale, Lemon Way Africa avec pour ambition de sâimplanter dans plusieurs pays de lâUnion Ă©conomique et monĂ©taire ouest-africaine Uemoa et de la zone de la CommunautĂ© Ă©conomique et monĂ©taire des Etats de lâAfrique centrale Cemac afin dây proposer un service de transfert dâargent depuis la France. On va commencer par le Mali, puis nous ouvrirons des succursales au SĂ©nĂ©gal, en CĂŽte dâIvoire et au Burkina Faso, prĂ©cise Emmanuel de Cazotte, membre du conseil de surveillance de Lemon Way. Nous voulons proposer des services bancaires mobiles Ă bas coĂ»t et accessibles quel que soit lâopĂ©rateur du client. » Lire aussi Lâinnovation bancaire, nouveau terrain de chasse des start-up africaines La nouvelle filiale va Ă©galement permettre au français de se placer sur un marchĂ© encore Ă©mergent en Afrique le financement participatif. Lemon Cagnotte devrait ĂȘtre lancĂ©e dâici Ă la fin de lâannĂ©e pour permettre dâorganiser une collecte dâargent en ligne, accessible depuis la France et dans plusieurs pays africains pour financer Ă plusieurs un projet ou un Ă©vĂ©nement. Lemon Funding permettra quant Ă lui aux Africains de soumettre en ligne leurs projets entrepreneuriaux au financement participatif ou dâen financer. Wizall, vingt pays en trois ans Il nâopĂšre pour lâinstant quâau SĂ©nĂ©gal mais compte conquĂ©rir une vingtaine de pays en trois ans, Ă commencer par le Burkina Faso, le Mali et la CĂŽte dâIvoire. Au SĂ©nĂ©gal, la toute jeune pousse locale, active depuis novembre 2015, revendique dĂ©jĂ 100 000 utilisateurs et a rĂ©ussi Ă tisser un rĂ©seau de 5 000 points de retrait dâargent grĂące Ă son partenariat avec TigoCash et Total. Il fallait pouvoir rendre nos services accessibles mĂȘmes dans les zones enclavĂ©es, or les pĂ©troliers disposent des meilleurs rĂ©seaux », souligne Ken Kakena, lâun des fondateurs de la start-up. Les stations-service ne servent pas seulement de points de retrait du transfert en liquide. Wizall permet aussi aux personnes qui envoient leur agent de le convertir en bons utiles » carburant, aliments, livres, biens culturels, grands magasins⊠On croit beaucoup au dĂ©veloppement du cash-to-goods, car câest le seul moyen de baisser considĂ©rablement les frais de transfert », explique Ken Kakena. Voire de les supprimer. La start-up qui prend pour lâinstant une commission fixe de 5 % souhaite bientĂŽt proposer ses transferts en biens de consommation gratuitement en faisant payer le commerçant partenaire plutĂŽt que lâutilisateur. En juin, Wizall proposera des bons dans les cimenteries, un marchĂ© en plein essor sur le continent. Beaucoup dâAfricains de la diaspora construisent Ă distance une maison dans leur pays dâorigine ou financent celle de leurs proches, note Ken Kakena. Ce type de transfert est dĂ©clinable Ă lâinfini. » Pour preuve, Ă lâoccasion du dĂ©but du ramadan, Wizall lancera un panier alimentaire spĂ©cialement Ă©laborĂ©, payable en ligne et envoyĂ© directement aux musulmans sĂ©nĂ©galais⊠sans frais de transfert. Morgane Le Camcontributrice Le Monde Afrique, Ouagadougou
CrĂ©erson agence d'intĂ©rim est une procĂ©dure rĂ©glementĂ©e qui nĂ©cessite le respect de plusieurs formalitĂ©s. Nous vous proposons de gĂ©rer pour vous l'ensemble des formalitĂ©s de crĂ©ation dâentreprise afin de vous faire gagner un temps prĂ©cieux. Suivi par tĂ©lĂ©phone & chat ; Service 100% dĂ©matĂ©rialisĂ© ; RĂ©daction des actes
Lâagence de transfert dâargent Cash Plus a lancĂ© lâapplication Cash Plus Mobile Wallet », offrant Ă ses clients la possibilitĂ© dâouvrir un compte mobile gratuit et de bĂ©nĂ©ficier de ses services en ligne. Le lancement de lâapplication Cash Plus sâinscrit dans la stratĂ©gie nationale dâinclusion financiĂšre et de gĂ©nĂ©ralisation des solutions de paiement. Cash Plus a obtenu lâagrĂ©ment de Bank Al Maghrib pour lâexercice des activitĂ©s dâĂ©tablissement de paiement, notamment lâouverture de comptes de paiement et lâĂ©mission de moyens de paiement adossĂ©s Ă ces comptes. La banque centrale marocaine, Bank Al Maghrib BAM, et lâAgence nationale de rĂ©gulation des tĂ©lĂ©communications ANRT ont initiĂ© la stratĂ©gie de ce application permet Ă©galement aux utilisateurs dâeffectuer des transactions, de recevoir des virements, de payer des factures, de localiser des agences Cash Plus, de recharger des crĂ©dits tĂ©lĂ©phoniques, etc. Elle dispose dâun M-Wallet, qui permet aux utilisateurs de gĂ©rer facilement leur compte. Ainsi, les clients peuvent effectuer toutes les opĂ©rations de transfert ou de paiement 24 h/7 j sans se dĂ©placer en plus, Cash Plus propose aux clients sa carte multifonction, rechargeable depuis le compte de paiement. Les clients peuvent effectuer des paiements auprĂšs de diffĂ©rents commerçants physiques ou en ligne. Ils peuvent Ă©galement effectuer des retraits dans les agences Cash Plus ou aux distributeurs automatiques de toutes les banques du Maroc.
Pourprofiter des prestations de transfert dâargent, nous disposons de nombreuses sociĂ©tĂ©s spĂ©cialisĂ©es dans le transfert dâargent. GrĂące Ă ces entreprises spĂ©cialisĂ©es dans ce genre dâintervention, les consommateurs pourront profiter des prestations rapides et sĂ©curisĂ©es pour lâenvoi et/ou la rĂ©ception dâargent.Si vous ĂȘtes intĂ©ressĂ© Ă la recherche dâune sociĂ©tĂ©
Projet de transfert d'argent mobile money Autres Type de projet Privé Region Koulikoro Montant d'investissement millions FCFA 280 Montant d'investissement Euro 426 857 Montant d'investissement USD 500 000 Franchir un nouveau cap technologique et économique notamment en matiÚre de bancarisation et d'inclusion innovante et sécurisée de paiement mobile Enjeux Taux de rentabilité moyen estimé du projet 42,52% Objectifs Commercialiser Money cell et positionner rapidement ce moyen de paiement comme solution la plus avantageuse et la plus compÚte sur le marché malien. Besoins Acquérir des équipements adéquats, aménager les sites de travail, mobiliser les fonds.
bFVqPz. 240 45 181 340 314 374 65 192 150
projet de creation d une societe de transfert d argent